Le seul intérêt de ce film est qu’il donne la sensation d’entrer dans la cage centrale auprès du grand dompteur que fut Gilbert Houcke (voir blog13/12/11). Quant à l’histoire elle est insignifiante: « lors de son passage dans un cirque de Hambourg, le Maharadjah de Jailapur tombe amoureux de la belle écuyère Yrida. Désirant absolument la rencontrer, il envoie ses hommes de main pour obliger le cirque à venir se produire à Ceylan. Il essaye alors de gagner par tous les moyens les faveurs de la jeune femme. En vain... Sans autre forme de procès, il l'enlève et l'emmène dans son château en Inde. C'est là qu'Yrida reconnaît dans le fils du maharadjah l'homme qu'elle avait vu un jour à Hambourg et que, depuis, elle n'avait pas réussi à oublier.» Dernier point le metteur en scène Veit Harlan ne remonte pas le niveau artistique car pendant la dernière guerre il a sous les ordres de Goebbels commit des films de propagande nazie comme le "Juif Süss". Heureusement il y a Gilbert Houcke pour que ce film avec Kristina Söderbaum, Willy Birgel, Adrian Hoven, Hermann Schomberg, Karl Martell, ne soit pas mis aux oubliettes de la médiocrité.